La greffe de cheveux est très utile pour compenser les pertes de cheveux. Découvrez les différentes techniques pour le faire.
Tout ce qu’il faut savoir sur la greffe de cheveux africains
Ces dernières années, la greffe de cheveux africains a connu une amélioration considérable. Cela s’est manifesté par une augmentation des offres des centres spécialisés. Si vous envisagez une greffe de cheveux, il est possible que des doutes surgissent. Poursuivez votre lecture pour découvrir tout ce qui concerne les greffes de cheveux afros.
La forme et les caractéristiques des cheveux afros
Les cheveux afros sont étroitement bouclés ou noués. Les follicules pileux ne sont souvent pas visibles, car ils ont tendance à se courber sous la peau. C’est pourquoi les taux de transsection sur les cheveux bouclés et afros ont tendance à être plus élevés que sur les cheveux raides. La transsection désigne la coupe involontaire d’un follicule pileux lors d’une transplantation. Cela peut se produire lors de l’extraction ou de l’implantation. Les transsections surviennent le plus souvent lors du prélèvement de greffons à l’arrière ou sur le côté de la tête. Pour cause, la lame utilisée lors de cette phase coupe les follicules pileux, les endommageant et les rendant inutilisables pour la transplantation.
Quand faire une greffe de cheveux africains ?
La greffe de cheveux est un traitement qui peut concerner les hommes et les femmes souffrant de calvitie partielle, de chute de cheveux ou d’alopécie de traction. Cette dernière concerne un type de perte de cheveux progressive causée par une traction excessive. À ce sujet, les cheveux afros sont particulièrement invulnérables à l’alopécie. Elles le sont en raison de coiffures telles que les tresses ou les dreadlocks.
Généralement, on ne recommande pas la greffe de cheveux si vous souffrez d’une perte de cheveux temporaire, d’une calvitie récurrente ou d’une calvitie localisée. En effet, si vous souffrez de calvitie récurrente à l’arrière et sur les côtés de la tête, cela peut indiquer que vos cheveux ne résistent pas à la dihydrotestostérone (DHT). C’est l’hormone que l’on croit responsable de la chute des cheveux. Par conséquent, si les cheveux de la zone concernée ne sont pas résistants à la DHT, les futures greffes risquent de ne pas fonctionner.
Les différentes techniques de greffe de cheveux africains
Extraction d’unités folliculaires (FUE)
La transplantation FUE consiste à prélever des greffons capillaires, à l’arrière ou sur les côtés de la tête. Ensuite, on transplante les greffons sur la zone chauve ou clairsemée. La technique FUE vise à laisser une cicatrice minimale. La période de guérison après le traitement dure environ deux semaines.
Transplantation d’unités folliculaires (FUT)
Mis au point dans les années 1950, le FUT consiste à utiliser une anesthésie locale pour retirer une bande de peau à l’arrière ou sur le côté de la tête. Ensuite, on divise la bande en greffons plus petits et implantée dans la zone de la tête qui est chauve ou qui présente une zone d’éclaircissement. Cette méthode laisse une cicatrice visible si le poil est rasé et la récupération à la suite de l’opération prend quelques semaines.
Implantation directe de cheveux (DHI)
La DHI est une autre procédure de transplantation capillaire populaire et peu invasive. Cette technique fait appel à un instrument spécialisé, qui permet d’implanter les follicules pileux rapidement après leur extraction.
En conclusion, la greffe de cheveux africains peut vous aider à résoudre un problème de perte de cheveux. Selon votre cas, les professionnels peuvent procéder de différentes manières.
Pour avoir l’assistance d’un professionnel, vous pouvez contacter un institut de beauté comme Cindy Fashion Coiffure afro ou nous rendre visite dans notre salon située au 209 rue Saint-Maur 75010 Paris. Cette dernière est mieux placée pour vous conseiller et procéder à cette opération.